Découvrez quel est le système d’éclairage le plus performant entre les lampes à sodium à haute pression et les lampes LED

Un des principaux arguments de l’éclairage LED est sa consommation deux à trois fois moins importante que celle des High Pressure Sodium (HPS). Mais les avantages complémentaires sont nombreux : intensité, efficience, spectre, thermique, variation, …

Dans son laboratoire, Vegetal Grow Development a creusé la question afin de garantir les résultats avancés et de les corréler au domaine du végétal.

Cet essai met en avant la comparaison entre deux luminaires: le 600 Watts HPS et le dernier né de la gamme LUMIA: le TOP MAX LUMIA 600W LED de chez Vegetal Grow Development (VGD).

En observant les résultats, plusieurs points sont à souligner :

  • A consommation équivalente le luminaire led 600W éclaire 20 à 40% de plus que deux 600W HPS cumulés. Soit une consommation de 60% à 80% de moins pour le même flux sur une culture. Prenez l’exemple d’un plant de concombres équipé en HPS, vous avez le choix soit de diviser jusqu’à trois fois la puissance initiale consommée soit de bénéficier jusqu’à trois fois plus de lumière
  • Les lampes HPS émettent principalement dans une zone entre 550nm et 630nm (correspondant à la zone jaune orange du spectre visible) avec une très faible émission dans le bleu qui est impliqué dans le processus de photosynthèse mais également dans l’activation de photorécepteurs principalement les cryptochromes et les phototropines
  • Le rouge contenu dans les lampes HPS est également faible, même si quelques pics d’intensité sont présents. Une activation donc partielle des phytochromes (photorécepteurs du rouge et rouge lointain) est obtenue, de même que pour le processus de photosynthèse.
  • Les luminaires LED ont des spectres adaptés aux cultures que ce soit en serre ou en indoor et peuvent être utilisés en complément lumineux ou en apport total (cas de cultures indoor).
  • Dans un luminaire LED il est possible de choisir les bandes spectrales utilisées, cela permet d’activer des mécanismes chez les plantes quand on le souhaite. Utilisation de bandes spécifiques pour l’enracinement, la germination, la floraison et autres stades de croissance.
  • A savoir, les lampes HPS perdent en moyenne 30% de leur intensité après 3000h de fonctionnement face à 30 000 heures pour les lampes LED.
  • Le delta thermique est suffisamment important pour être compensé par des systèmes de chauffage plus performants (Watts/Joule) c’est donc une fausse bonne idée de garder les éclairages HPS pour substituer le chauffage. L’étude d’une université Hollandaise reconnue mentionne que l’utilisation d’éclairage led en culture de tomates grappes réduirait de 15% la consommation globale électrique.
  • En réduisant le nombre de lampes HPS dans une serre, grâce aux performances des éclairages LED LUMIA, l’ombre portée par les lampes HPS peut être réduite. Ainsi, les performances de la technologie led actuels permettent à ce jour de varianter les luminaires HPS

Conclusion 

Pour la même intensité (µmol/m²/s ou lux) captée par une plante, les lampes HPS consomment plus, sont moins efficientes avec un spectre moins optimisé pour la photosynthèse. Les luminaires LED ont inévitablement plus de points positifs comparés aux lampes HPS, reste encore la question du prix, où les lampes HPS restent gagnantes. Dans nos villes et dans nos habitats nous avons franchis le cap du reflex performance énergétique et demain qu’allons-nous faire pour nos cultures ?

A vous de vous faire votre avis en fonction des résultats avancés.

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