Nous avons bénéficier d’un article dans le journal Vaucluse matin pour cette belle fin d’année 2019.

L’article aborde plusieurs points :

  • notre bureau d’études Light In The led
  • la levée de fonds VGD
  • notre innovation
  • notre partenariat
  • nos futurs recrutements
  • et pleins d’autres actus …

Alors, vous êtes curieux d’en apprendre un peu plus sur notre bureau d’études et sur VGD ?

Bonne lecture !

Entrepot VGD sebastien et guillaume éclairage led boitier de pilotage

Light in the led, bureau d’études spécialisé en éclairage, développe depuis 2018, sous la marque Vegetal Grow Development, des systèmes intelligents pour stimuler la croissance et les qualités organoleptiques des cultures par la maîtrise de la lumière. Une offre qui repose sur des boîtiers de pilotage enterrés et sur des capteurs permettant d’adapter l’éclairage aux besoins de la plante, et de limiter le stress des cultures lié aux changements rapides d’éclairage naturel dans les pays du Sud. Basée à Châteaurenard, l’entreprise prépare une levée de fonds de 2 millions d’euros auprès de fonds d’investissement pour le premier trimestre 2020 qui devrait lui permettre de booster cette innovation. « Cela va nous permettre de dynamiser l’offre », explique Sébastien Depradre, dirigeant et fondateur.

Les prototypes de boîtiers et capteurs, ainsi qu’une partie des petites séries, sont actuellement fabriqués dans les ateliers de Châteaurenard, notamment grâce à l’impression 3D. « L’objectif, à terme, est de développer la fabrication en grandes séries en France et en Europe pour les offres premium. Mais aussi d’accélérer les investissements en R & D, le développement commercial et le recrutement, dès 2020, et de passer de 10 à 50 salariés d’ici 24 à 36 mois », précise Sébastien Deprade. « Nous savons piloter des installations de façon industrielle, et nous souhaitons valoriser ce savoir-faire en nous positionnant avant tout comme fournisseurs de contrôle pour des opérateurs, y compris des leaders du marché ». De petites “briques” de ce savoir-faire vont être brevetées.

Parallèlement, l’entreprise va sortir en 2020 une offre low tech pour les serres en plastiques, complémentaire de l’offre de départ destinée aux serres en verre. Cette nouvelle offre sera vendue uniquement sur internet avec la possibilité pour le client de ne pas s’engager sur une trop longue durée. « C’est un pari. Un marché à prendre au niveau mondial. Jusqu’à présent, ce marché n’existe pas », note le dirigeant. L’innovation Vegetal Grow Development, appelée à devenir l’activité unique du bureau d’étude, fait aussi ses premiers pas à l’export. Le cap est mis sur 2,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a minima pour la deuxième année de développement, et sur 10,2 millions pour la cinquième année.

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